Le projet de solidarité internationale

Notre projet social à Ben Smim

Notre ambition est de nous positionner comme une organisation qui, au-delà de son engagement dans le grand forum international, est aussi une organisation de terrain qui sera toujours proche des populations européennes et africaines.

Intégrations sociales

Avec la contribution de notre représentation au Maroc, nous avons fait un constat sur les conditions de vies et d’intégrations sociales des enfants et des jeunes dans la commune de Ben Smim.

Manque d'infrastructures

Cette commune jouit d’une stabilité institutionnelle. On constate en revanche un manque d’infrastructures adéquates à l’épanouissement des jeunes. De même, le système de prise en charge sanitaire reste insuffisant. Un service public est toutefois assuré pour l’établissement des actes administratif.

Soutien

Dans le cadre de la solidarité internationale en lien avec les objectifs de développement durable, nous souhaitons réhabiliter une bibliothèque pour les jeunes de la commune et par la même occasion, offrir des kits scolaires à 200 élèves de la commune.

Le constat

Ben Smim est une commune rurale de la province de Ifrane. Elle a un climat de type hivernal. Elle compte près de 12.000 habitants et 2 447 ménages, soit une moyenne de 8,4 personnes par ménage. Cette population se répartit à raison de 51,2% de femmes et 48,8% d’hommes. La répartition de la population par grands groupes d’âge montre que 30,5% des habitants ont moins de 15 ans, tandis que 61,9% ont entre 15 et 59 ans et que 10,6% ont 60 ans ou plus. La population en âge de scolarisation (7 à 12 ans) représente quant à elle 14,9% de l’ensemble de la population communale.

Cette commune jouit d’une stabilité institutionnelle. On constate en revanche un manque d’infrastructures adéquates à l’épanouissement des jeunes. De même, le système de prise en charge sanitaire reste insuffisant. Un service public est toutefois assuré pour l’établissement des actes administratif.

On remarque notamment un taux de décrochage scolaire. Ce décrochage est dû à plusieurs facteurs qui sont :

– Le manque de moyens financiers pour l’achat des fournitures scolaires.

– Le manque de moyens pour le payement des droits d’inscriptions dans les écoles.

– Dans certains cas, l’échec d’une année scolaire qui peut être un prétexte social pour les parents à obliger leurs filles à arrêter leurs études pour se consacrer entièrement aux tâches domestiques ou autres afin de survenir aux besoins de la famille.